Selon cet article des Échos, nous avons appris que notre cher camarade protecteur des travailleurs et des travailleuses protège particulièrement son confort car après les travaux de son appartement situé dans le quartier « très populaire » de Vincennes (ironique), « la rénovation de son bureau a coûté quelque 65 000 euros. La commission de contrôle rendra ses premières conclusions début décembre ».

Mais camarade Thierry voyons, saucisses et merguez autour d’un fût transformé en brasero, cela nous suffit ! Point besoin de luxe ou de confort particulier !! Enfin, surtout avec l’argent des contribuables et les cotisations des camarades.

Alors évidemment ne soyons pas naïfs, si la CGT se fait affaiblir et que ces dossiers sortent maintenant c’est que cela va servir à la décrédibiliser, c’est une évidence et cela sent bon la remise à plat des régimes spéciaux, parce qu’il va bien falloir y passer et que les cheminots, en 2015, vont être mis sur la sellette… Mais camarade Thierry, pour être sensible à une déstabilisation, il suffit de donner quelques os à ronger, ce que tu as su faire avec brio.

Dans l’intérêt de la CGT, seule une démission serait souhaitable. Je n’ose même pas parler du mot « honneur ».

Charles SANNAT

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